LE MOT DE LA SEMAINE





Un cultivateur canadien habitait juste à côté de la frontière avec l'Ontario.
Il avait un voisin américain avec lequel il sétait toujours bien entendu, jusqu'à ce qu'un événement fâcheux trouble cette harmonie.
Le canadien avait une poule qui pondait tous les matins. Il allait chaque jour ramasser l'œuf frais pour son déjeuner. Or, un matin, le canadien aperçoit que sa poule a pondu son oeuf sur le terrain de l'américain et voit l'américain qui ramasse l'oeuf.
Le canadien sort immédiatement de sa maison et demande à l'américain de lui rendre son œuf. Celui-ci refuse car il dit que l'œuf a été pondu sur sa propriété et qu'il lui appartient donc. Les deux hommes argumentent pendant un moment, sans qu'aucun des deux ne cède.
Le canadien propose alors une solution :
- Écoute... Nous, au Québec, quand on a un litige qu'on ne peut pas régler et qu'on n'a pas de juge pour trancher, on utilise la méthode des poings.
- C'est quoi ça?!? demande l'américain
- C'est ben simple. Je te donne un coup de poing en pleine figure et je calcule combien de temps ça te prend pour te relever. Ensuite, tu me donnes un coup de poing en pleine figure et tu calcules combien de temps ça me prend pour me relever. Celui qui s'est relevé le plus vite a gagné.
L'américain accepte. Le canadien donne un bon coup de poing à l'américain Le pauvre tombe par terre et hurle de douleur... il lui faut plus de dix minutes pour se relever.
Lorsqu'il a finalement réussi à se relever, il dit : "À mon tour maintenant."
Le canadien lui répond : "Tu peux l'garder ton œuf."




Un inspecteur sanitaire contrôle une ferme en Normandie et demande au paysan :
-" Et cette vache, là, elle est tatouée ?"
Et le paysan, piqué au vif :
- "Bien sûr elle est à moué !"




Un homme d'affaire à rendez-vous à l'autre bout du pays, mais il arrive en avance, et décide de discuter avec un paysan en attendant...
- Oh! Les jolies poules! Mais dîtes moi, combien d'œufs pondent-elles par jour ?
- Oh ! Les blanches, elles doivent me faire bien 2 oeufs par jours ! Les noires aussi d'ailleurs, lui répond le paysan.
- Ah !? ET ces beaux moutons ! Combien de kilos de laine vous donnent-ils par an ?
- Oh, les blancs, ils doivent bin m'faire 6 kilo par an ! Les noirs aussi d'ailleurs, lui dit ce dernier.
- Ah ?! Et, ces belles vaches, elles vous donnent beaucoup de lait ?
- Oh ! Les blanches, elles doivent bin m'donner six litres de lait par jour ! Les noires aussi d'ailleurs...
- Ah ?! Mais, dites-moi, pourquoi distinguez-vous toujours les bêtes noires des bêtes blanches, puisqu'elles vous donnent toujours la même chose? lui demanda l'homme d'affaire.
- Et ben, c'est bien simple : les bêtes blanches, elles sont à moi !...Les noires aussi d'ailleurs.




2 vaches discutent dans un prés et l'une dit:
"tu as entendu parler de la vache folle?
" et l'autre répond:
"je m'en fous je suis un canard!"




Un dimanche, le vieux prêtre d'une commune rurale qui exerçait depuis une bonne quarantaine d'années, concluait son sermon hebdomadaire en tapant du poing sur l'autel.
Il lance à ses fidèles: "J'ai entendu l'expression "péché d'adultère" au moins un millier de fois depuis que j'officie dans cette église. Je vous le dis tout net, si j'entends encore une seule fois ces mots, je prends ma retraite."

Tout le monde l'aimait bien dans le village et on s'accorda donc à ne plus jamais employer les mots interdits. Les habitants décidèrent à la place d'employer l'expression "j'ai chuté". Cette initiative calma le vieux prêtre qui vécut l'esprit tranquille pendant encore plusieurs années.

Après sa disparition, un jeune curé vint le remplacer dans la paroisse et il nota tout de suite la quantité alarmante "d'accidents" liés aux lois de la gravitation dont étaient victimes les habitants du village.
Il prit donc la décision d'aller trouver le Maire de la commune. Il lui dit: "Monsieur le Maire, il vous faut intervenir d'urgence sur l'état des trottoirs du village. C'est bien simple, il semble que tout le monde perde l'équilibre dans cette ville…"
Le premier citoyen, comprenant que personne dans la commune ne l'avait informé du véritable sens de l'expression "j'ai chuté" éclata de rire.
Il se tordait sur son bureau lorsque le jeune curé le rappela à l'ordre: "Qu'est ce qui vous fait donc rire à ce point ? A votre place, je ne me réjouirais pas. Tenez, pour citer un exemple qui vous concerne, votre femme a chuté trois fois la semaine dernière..."




C'est un couple de vieux fermiers qui participe à la remise des prix d'un concours de taureaux.
Présentateur : 3ème prix, le taureau Gédéon, 3 ans, 3 saillies par jour.
La dame en donnant du coude à son mari, lui dit: " Tu as entendu, 3 fois par jour. "
Présentateur : 2ème prix, le taureau Olivier, 5 ans, 6 saillies par jour.
La dame redonne du coude à son mari et dit: " Tu as entendu, 6 fois par jour. "
Présentateur : 1er prix, le taureau Gérard, 6 ans et demi, 9 saillies par jour.
 La dame répète le même geste et dit: " Tu as entendu, 9 fois par jour et ça c'est sans viagra. "
Notre bonhomme s'adresse au présentateur et lui dit: " Notre Gérard à 9 fois par jour, c'est avec la même vache? "
Et le présentateur lui répond: " Bien sûr que non. "
Notre bonhomme donne du coude à sa femme et lui dit: " Tu as entendu. "





Un jour, deux pommes de terre se promènent ; L'une d'elles traverse la route et se fait renverser .
L'autre se retourne et dit "oh ! Purée !"




Un prêtre reçoit en confession un vieux fermier.
L'homme dit:
- Pardonnez-moi mon Père, car j'ai péché. Durant la deuxième guerre mondiale, j'ai caché un homme riche dans mon grenier.
- Je ne comprends pas, c'est une bonne action si cet homme était en danger !
- Mais, ce n'est pas tout... J'ai fait payer un loyer chaque mois pour la location de mon grenier.
- Humm . Vous avez profité et abusé de lui. Mais j'imagine que cela peut vous être pardonné.
- Oh mon Père, vous m'ôtez un gros poids sur la conscience. Une dernière petite question...
- Oui mon fils...?
- Est-ce que vous pensez que je devrais lui dire que la guerre est terminée ?




Un fermier aperçoit un jeune garçon sur un de ses pommiers.
Rouge de colère, il crie :
- Descend de là tout de suite ou je vais dire deux mots à ton père !.

Alors le garçon lève la tête vers les branches au-dessus de lui et dit :
- Papa. Descends ! : il y a quelqu'un en bas qui veut te parler.




C'est un vieux paysan, au marché, qui essaie de vendre sa vache 100 Euros. La vache est une vielle bête avec la peau sur les os, qu'il vend parce qu'il ne parvient plus à la nourrir.
Evidemment, aucun client ne se manifeste. Un homme observe puis s'approche...
- Tu n'as rien compris à la vente, laisse-moi faire. Si je te la vends, on fait 50% pour moi et 50% pour toi.
Résigné, le paysan accepte.L'homme commence la vente :
- Voici la toute dernière race de bovin, enfin mise à votre disposition.
La foule commence à s'avancer, se masser.
- Eh oui, mesdames et messieurs, cette vache est le dernier cri de la génétique africaine.
Pour cette curiosité, les enchères commencent à monter : 100 Euros, 200, 300, 500 Euros.
- Et plus fort, elle a été inséminée artificiellement et elle fera bientôt deux veaux.
Et les enchères continuent de montent 550, 600, 1000 Euros.
L'homme continue :
- Avec les veaux, une vache et un taureau, plus de problème de descendance. Et les enchères s'enflamment : 1 500 Euros, 2 000 Euros !
Alors à ce moment là, le paysan va voir l'homme et lui dit :
- Je ne vends plus ma vache!
- Et pourquoi, regarde tout l'argent qu'on va gagner...
- Oui, mais elle vaut si cher que je préfère la garder !