(Numéro 143 - Cyberdiffusion du 22-02-2004)

LE MOT DE LA SEMAINE EST :  "passion"




"Faites que le rêve dévore votre vie afin que la vie ne dévore pas votre rêve."
Antoine de Saint Exupéry (1900 - 1944)
"Rien de grand ne s'est accompli dans le monde sans passion."
Hegel - La Raison dans l'Histoire
Méditez sur ce mot d’un avocat : "Les intérêts transigent toujours ; les passions ne transigent jamais."
Émile Chartier, dit Alain (1868-1951)
Mars ou la guerre jugée
LES ECHOS DE LASEMAINE DERNIERE : "peur"
"Ce n'est pas la peur d'entreprendre, c'est la peur de réussir, qui explique plus d'un échec. "
Emil Cioran (1913,1995)
De l'inconvénient d'être né (1973)
"Les êtres humains sont les seuls animaux dont j'aie réellement peur."
George Bernard Shaw (1856-1950)
"C'est de ta peur que j'ai peur."
William Shakespeare (1564 - 1616)
Roméo et Juliette – envoi de Maurice N.
ET POUR FINIR PAR UNE HISTOIRE
Un homme qui aimait pousser un peu sa voiture atteint 160 km/h sur l'autoroute. C'est alors qu'il aperçoit une voiture de police qui tente de le rattraper. Il appuie sur l'accélérateur et atteint cette fois 200 km/h. Toujours poursuivi, il décide de ralentir et de se laisser rattraper.
Le policier s'approche, prend ses papiers sans dire un mot, les examine, jette un coup d'œil à la voiture et dit: "Ecoutez, je termine mon service et je suis fatigué. Je n'ai pas envie de rédiger une contravention. Alors, si vous me donnez une excuse que je n'ai pas encore entendue, je vous laisse aller."
L'homme hésite un moment et lui répond : "La semaine dernière, un policier est parti avec ma femme...".
"Et alors!" rétorqua le policier.
"Eh bien, je croyais que c'était lui qui essayait de me la ramener"


le mot | les échos| pour finir| post-scriptum
POST-SCRIPTUM EN FORME DE POESIE

La rue assourdissante autour de moi hurlait,
Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse,
Une femme passa, d'une main fastueuse
Soulevant, balançant le feston et l'ourlet
(….)
Un éclair….puis la nuit ! – Fugitive beauté
Dont le regard m'a fait soudainement renaître,
Ne te verrais-je plus que dans l'éternité.

Ailleurs, bien loin d'ici ! Trop tard ! Jamais peut-être !
Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais,
O toi que j'eusse aimée, Ô toi qui le savais !
Charles Baudelaire (1821 – 1867)
A une passante

BONNE SEMAINE



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