(Numéro 139 - Cyberdiffusion du 25-01-2004)

LE MOT DE LA SEMAINE EST :  "paresse"






"Non, je ne fais rien…... Il y a comme cela des années où l'on n'est pas en train."
Rivarol (1753 - 1801)
"Il est impossible d'apprécier la paresse, sauf si on a beaucoup de travail à faire."
Jérôme K. Jérôme (1859 - 1927)
"Je ne peux pas rester sans rien faire. Je vais faire la sieste."
Yvan Audouard
LES ECHOS DE LASEMAINE DERNIERE : "chute"
"Quand on tombe, on ne tombe jamais bien."
Alexandre Dumas père (1802-1870) – envoi de Suzanne T.
"C'est l'histoire d'un type qui tombe du haut d'un immeuble, tout le long de sa chute, à chaque étage, il se répète :"jusqu'à la tout va bien...."
L'important dans la chute, c'est la réception..."
Anonyme – envoi de Jacky S.
"Le plus dur, c'est pas d'arriver au sommet, c'est d'y être."
Coluche (1944 - 1986)
ET POUR FINIR PAR UNE HISTOIRE
Envoi de Simon B.
Une femme demande à son mari :
- Dis moi sincèrement. Que préfères-tu chez moi, mon visage ou mon corps ?
Le mari l'observe attentivement de la tête au pied puis répond :
-Ce que je préfère, c'est ton sens de l'humour !


le mot | les échos| pour finir| post-scriptum
POST-SCRIPTUM EN FORME DE POESIE

Les oiseaux ne sont plus un abri suffisant
Ni la paresse ni la fatigue
Le souvenir des bois et des ruisseaux fragiles
Au matin des caprices
Au matin des caresses visibles
Au grand matin de l'absence la chute.
Les barques de tes yeux s'égarent
Dans la dentelle des disparitions
Le gouffre est dévoilé aux autres de l'éteindre
Les ombres que tu crées n'ont pas droit à la nuit.


Paul Eluard - Toi la Seule

BONNE SEMAINE



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"vacances"